Club des Amateurs Wallons d’Orchidées

CONTACT POUR INFO

De la difficulté de communiquer

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Il ne vous a pas échappé que la situation se compliquait à nouveau…
Notre principale difficulté est de rester en liaison avec chacun d’entre vous.
Or, une association comme la nôtre est basée sur un contact régulier, dans un endroit où nous pouvons « associer » nos connaissances, envies, découvertes, nos humeurs, etc.
La mise en commun, le partage sont essentiels et constituent le fondement de tout club comme le CAWO. La convivialité qui nous caractérise aussi…

Cette pandémie fait des ravages, à bien des égards, dans notre société.
Les contacts sociaux (les vrais, non pas les virtuels !) sont soumis à rude épreuve et souvent entravés par l’une ou l’autre restriction.
Bien sûr, la situation nous recommande d’être (très) prudents, mais le manque de contacts pèse sur beaucoup d’entre nous/vous.

Lors de la réunion de Comité (notre Codeco à nous !) qui s’est tenue vendredi 3 décembre dernier, il est apparu évident que le retour à une situation dite « normale » ne doit pas être attendue avant plusieurs années (trois, quatre, cinq ?).
Dès lors, quel avenir, et sous quelle forme, pouvons-nous vous réserver, vous, les membres du CAWO ?

La réflexion est lancée. Quelques pistes sont sur la table. Mais cela passera probablement par des moyens peut-être rébarbatifs ou peu sécurisants pour certain·e·s d’entre vous, dans un premier temps.
Mais on parle aussi de réorientation, d’ouverture, d’actualisation à notre société actuelle. Car l’orchidophilie est-elle toujours en phase avec les aspirations du moment ?

Cela fait maintenant quelques années que nous remarquons un certain essoufflement de l’intérêt des gens par rapport aux orchidées.
Bien sûr, elles ont toujours cette aura un brin mystérieuse, fascinante, mais leur surreprésentation sur tous les étals possibles et imaginables les ont banalisées au point de les rendre presque invisibles, alors qu’elles méritent bien mieux que cela…

Nous avons conscience que le chemin sera long et parsemé d’embûches et que nous risquons d’y laisser quelques plumes. Peut-être sera-ce le prix à payer pour espérer pérenniser notre association ?
Nous devrons faire des choix, c’est certain.

En tout cas, comme dirait l’autre, on le lache pas le morceau. 😉

Christian



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